PLF, PLFSS… Derrière ces sigles se cache en réalité une question simple : le partage des richesses produites par notre travail. Une fois encore, le gouvernement a fait son choix, celui des très riches et des grandes entreprises. D’autres solutions existent.
Les débats parlementaires se concentrent en ce moment sur deux thématiques importantes :
- le budget de la Sécurité sociale (avec le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, « PLFSS »), principalement financé par les cotisations sociales, qui couvre les aléas de la vie : santé (assurance maladie), vieillesse (retraites), familles (CAF), autonomie, accidents du travail…
- le budget de l’État (avec le projet de loi de finance, « PLF »), principalement financé par l’impôt, qui couvre le financement des services publics, le bien commun de toute la population.
Au prétexte d’une situation budgétaire « catastrophique », le gouvernement propose dans les deux cas un projet d’une violence sociale sans précédent, encore pire que le budget Bayrou, faisant payer les plus démuni·es et les malades pour préserver sa politique de cadeaux aux grandes entreprises et aux ultra-riches.

